Sophie est maman et souffre d’hyperphagie depuis sa petite enfance.
 
Sa maman a toujours eu un rapport difficile à l’alimentation et sa fille vient d’être diagnostiquée comme souffrant d’anorexie.
 
  • Comment une mère qui souffre de trouble alimentaire peut-elle réagir lorsqu’elle réalise que son enfant est aussi malade ?
  • Comment faire face à la transmission de l’anorexie et de la boulimie de génération en génération ?
Dans un podcast poignant, touchant et sans tabou, Sophie nous raconte son histoire et son nouveau combat quotidien, changer ses propres habitudes pour aider sa fille de 8 ans à se réconcilier à son alimentation.

À écouter depuis les plus grandes plateformes (iTunes, Deezer, Spotify, …)
ou directement ici 👇

 

L’info en + :

Sophie a récemment lancé un compte Instagram,  @cherry_andthecake, sur lequel elle souhaite, sans prétention, publier des pastilles humoristiques sur la mentalité des régimes et petit à petit parvenir à s’en détacher. A découvrir sans tarder !

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Elle vous permet de faire un lien entre vos prises alimentaires, vos émotions, vos douleurs, pour petit à petit comprendre les situations qui favorisent votre bien-être.

5 commentaires à “Ce moment où… Sophie, maman et en lutte contre l’hyperphagie nous parle de l’anorexie de sa fille”

  1. Lili dit :

    Personnellement, ma maman a eu des troubles alimentaires (boulimie avant et maintenant, elle est grossophobe et elle est pour moi anorexie, en sous poids et elle contrôle beaucoup son alimentation). Je suis anorexique et si je n’arrive pas à prendre du poids c’est parce que je compare toujours mon poids à ma mère et je n’arrive pas à peser plus qu’elle, d’autant plus que je suis plus petite en taille. Cela m’obsède et elle ne veut pas admettre qu’elle est malade. Je pense que si elle se soignait, je serai guérie aussi.

  2. Anonyme dit :

    Bonjour, j’aime pas le mot « anorexique »mais j’ai de grande difficultés à m’alimenter correctement, je n’aime pas dire que je suis malade, pour ma part c’est juste un petit passage de la vie, l’idée de prendre du poids m’angoisse énormément, j’ai plusieurs rendez-vous également avec une nutritionniste, et mon médecin généraliste toute les semaines, avec une psychologue également, j’ai honte de mon corps, il n’y à rien que j’aime chez moi, c’est vraiment une phobie pour moi de grossir, mais j’aime pas dire que je suis malade, c’est juste un petit passage de la vie .

    • Camille dit :

      Ça s’appelle malheureusement le déni…. c’est une passe mais dîtes vous que vous n’êtes pas anorexique mais vous souffrez d’anorexie..

  3. Eric dit :

    Merci à Sophie pour son courageux témoignage. En tant que parent qui vit cette traversée difficile et compliquée il est important aussi de ne pas s’oublier et de prendre soin de soi en se ressourçant pour soutenir et accompagner du mieux possible son enfant en souffrance.
    Comme le témoigne les commentaires, mettre un mot sur un mal en soi est quelque part sortir du déni, de cette croyance qu’on peut contrôler la situation alors que les perturbations liées à la dénutrition perturbent le fonctionnement déjà si complexe de notre cerveau. En effet la maladie ne définit certainement pas une personne, il y a bien d’autres choses qu’elle incarne toutefois cette petite voie oppressante se veut tellement persuasive en agissant sur des peurs irrationnelles mais pourtant si ressenties fortement. Morgane dit souvent qu’il convient de trouver une équipe solide de soignants pour aider la personne en souffrance et c’est tellement juste. Les proches aussi ont une place importante dans le soutien et dans la restauration de la confiance en soi que la maladie dévore peu à peu.

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